jeudi 12 janvier 2012

2012, me voilà… (en vintage?)


Ça fait longtemps que je n'ai plus posté, plus d'un mois. Ce n'est pas que je n'avais pas envie d'écrire un billet, ou que je n'ai pas découvert des choses intéressantes. La vie est parfois un peu compliquée, l'inspiration paresseuse, ce genre de choses… Mais il vaut mieux ne rien écrire que se forcer à raconter des choses qu'on trouve soi-même sans intérêt. J'ai continué à faire sobre au point de vue nombre, mais j'ai pris beaucoup de plaisir à porter les quelques élus. Qui sait d'ailleurs si une collection ne se reconstituera pas, à condition qu'elle soit plus intelligente, plus raisonnée. Et probablement bâtie sur des bases différentes, parce que les gens et les goûts changent, ou peut-être parce que je reviens à mon point de départ. Boudant définitivement l'Orient et le capiteux, je me sens des envies de ré-explorer la fraîcheur, celle de ces eaux chyprées qui sont de vrai parfums quoi qu'on en pense, et qui sont si belles lorsque la température est aussi fraîche qu'elles.

Autre terrain d'exploration, le vintage, auquel je suis venu en ce début d'année un peu poussé par des amis auxquels je dois dire merci puisqu'ils m'ont permis de retrouver deux de mes premières amours griffés Dior. Ma vie dans le monde enchanté de la parfumerie ayant commencé avec Eau Sauvage et s'étant poursuivie chez Dior assez longtemps en cette époque ou la maison était encore brillante. J'ai donc mis la main sur un Miss Dior et sur un Diorella datant tous deux des années '80. Et je me dis que je ne m'arrêterai peut-être pas en si bon chemin, tout à ma joie de redécouvrir le si beau Roudnitska et le Jean Carles, toujours vaillants et pas vraiment datés, tellement plus intéressants que les versions actuellement commercialisées…

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