Marlene Dietrich, Kismet |
Au sortir du flacon, on se demande ou est la tubéreuse tant on ne perçoit qu’un oriental épicé… Peu à peu, danseuse exotique, elle se débarrasse de ses voiles d’épice pour se révéler tubéreuse bien faite de sa personne. L’exercice est joli, intéressant, troublant. Les matières sont belles. Mais le sillage et la tenue sont en deçà de ce qu’on espérait, on parle bien de tubéreuse quand même ! Et l’exercice à ses limites : non, pas une autre marque qui va nous faire encore des monomatières ? Il y en a déjà combien des tubéreuses ? Oui, celle-là est jamais vue, elle apporte un petit quelque chose, mais pour une marque assez peu connue, assez peu visible, ce n’est peut-être pas la bonne façon de se lancer… Trop de lancements, trop semblables, ce joli travail ne fait pas la différence. Arrêter des parfums comme Carnation et Nuit Noire pour lancer des Tubéreuses et des Vétivers ne semble pas faire sens.
Les Nombre d'Or, Tubéreuse, Mona Di Orio.
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