Tenue moulante noire, pliage de Longchamp à la saignée du coude, Cheveux soigneusement lissés et teints, moue méprisante pour faire chic, des effluves d’amande et de vanille, signées Dior.
Elégante et sensuelle.
Selon le brief.
Indubitablement cheap. On pourrait lui pardonner si elle n’était aussi prétentieuse.
Trop bruyante, comme son parfum : Hypnotic Poison., Annick Ménardo pour Christian Dior, 1998.
Monsieur Dior doit se retourner dans sa tombe.
Analyse délicieusement cruelle... je ne vois pas un Dior qui tienne la route aujourd'hui. A part peut-être le trop oublié Dolce Vita, qui a gardé de sa pétillance et de sa sensualité.
RépondreSupprimerA quoi rime ce jeu de massacre ?
Je n'ai pas connu la version originelle de cet Hypnotic Poison : peut-être collait-elle mieux au brief ?
Je n'essayais pas d'être cruel, ni même d'analyser. C'est juste descriptif d'une réalité effectivement cruelle.
RépondreSupprimerOn ne le dira jamais assez, mais Dior est tombé bien bas et c'est fort regrettable.
L'Eau Sauvage ne s'en sort pas trop mal (tant que n'est pas sentie à coté l'Eau du Sud de Goutal) mais elle devient infréquentable pas simple contamination.